La transition énergétique écologique et solidaire (française) : qu’en est-il au juste ?
On ne peut que constater que le gouvernement français a choisi une option en totale contradiction avec un ensemble d’évidences indiquant que celle-ci va mener l’économie française vers la catastrophe.Ce billet s’appuie sur des données publiques relatives à la consommation d’énergie primaire en France, reprises et documentées dans un rapport de la Cour des comptes du 18 mars 2018 et il n’y a aucune invention de mon fait. La didactique du gouvernement français emmenée par l’inénarrable laryngophoniste hélicoptérique et cautionnée par le Président de la République, digne représentant du Club de Bilderberg et du Forum de Davos, en d’autres termes le délégué des puissances financières occultes qui voient dans le changement climatique une opportunité de récolter le maximum d’argent, a donc inventé une sorte de pamphlet dans le titre annonçant sa politique énergétique future, la transition énergétique écologique et solidaire. Et il est intéressant d’en détailler le sens mot après mot. Tout d’abord le terme transition est révélateur. Pour le biologiste que je fus, les transitions conformationnelles des protéines renvoient à un changement de structure, et il me paraît judicieux d’utiliser cette définition, qui se justifie par le fait que le projet du gouvernement français ne tenant aucun compte des expériences du même type tentées dans des pays européens comme l’Allemagne consiste à diversifier les sources d’électricité, et uniquement d’électricité, car pour le reste de la consommation d’énergie primaire c’est une toute autre histoire, comme nous le verrons plus loin. En France, quiconque parle d’électricité sous-entend uranium puisque près de 80 % de cette forme d’énergie est produite par le parc électro-nucléaire qui utilise ce métal comme source d’énergie primaire. Cette énergie ne rejette aucun vilain gaz à effet de serre, « perturbateur endocrinien » du climat
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