Belgique
"Défendre un fermier pour des cacahuètes et perdre un gros client": la fuite d'un mail sur le projet éolien à Rebecq indigne. Un e-mail, qui n’aurait jamais dû être envoyé, est arrivé dans la boîte d’un membre de la plateforme citoyenne.
Lire l'article sur : dhnet.be ( publié le: 27/07/2020 )
>> "Défendre un fermier pour des cacahuètes et perdre un gros client": la fuite d'un mail sur le projet éolien à Rebecq indigne
Lire article similaire sur : lavenir.net ( publié le : 28/07/2020 )
>> Éoliennes: un mail qui crée la polémique
Lire article similaire sur : lalibre.be ( publié le : 27/07/2020 )
>> "Défendre un fermier pour des cacahuètes et perdre un gros client": la fuite d'un mail sur le projet éolien à Rebecq indigne
Il s’agit d’un logiciel informatique qui permet d’éteindre ou de rallumer le balisage des éoliennes selon les besoins.
Lire l'article sur : rtbf.be ( publié le : 24/06/2020 )
>> Innovation en Belgique : un système permet d'éteindre à distance les feux lumineux des éoliennes
"La Belgique a reçu un mauvais bulletin en matière de prévention de la corruption des parlementaires, juges et procureurs par le Groupe d’États contre la corruption (Greco), créé par le Conseil de l’Europe en 1999.
Dans un rapport publié mercredi, le Greco conclut «que la Belgique n’a mis en œuvre de façon satisfaisante ou traité de manière satisfaisante aucune des quinze recommandations. Quatre recommandations ont été partiellement mises en œuvre et onze n’ont pas été mises en œuvre», rapportent La Libre Belgique, De Tijd et De Standaard.
Le Greco recommandait par exemple «que des règles soient introduites pour les membres du Parlement sur la gestion des relations avec les lobbyistes et autres personnes tierces qui cherchent à influencer le processus parlementaire». Cette proposition n’a pas été mise en œuvre par la Belgique, note le Greco."
Lire l'article sur : lavenir.net ( publié le 12/01/2020 )
>> La Belgique épinglée en matière de corruption des parlementaires et magistrats
Le Soir du 27 janvier annonce, en manchette de première page, que la puissance éolienne installée ce jour en Wallonie équivaut à celle d’un réacteur nucléaire. Suivent des commentaires en pages 1, 2 et 3. Cette « nouvelle » appelle la mise au point suivante :
" La Wallonie veut augmenter sa part d’énergies renouvelables à un minimum de 23,5% à l’horizon 2030.
Pour y parvenir, il lui faudra installer 40 éoliennes par an, en moyenne, calcule le ministre wallon de l’Énergie Philippe Henry (Écolo).
«Actuellement, le parc wallon compte 400 éoliennes qui produisent 1 775 gigawattheures, ce qui équivaut à la consommation de 500 000 ménages. En 2030, l’objectif serait d’atteindre une production éolienne de 4 600 gigawattheures», détaille le ministre.
Il faut donc trouver des endroits pour placer 400 nouvelles éoliennes. Une des pistes qui est explorée par la Région wallonne, c’est d’autoriser l’installation d’éoliennes à proximité des bases aériennes militaires.
Beauvechain est donc concerné.
Le député wallon François Desquesnes (cdH) a interrogé le ministre Henry au Parlement pour connaître l’état d’avancement du dossier: «Le gouvernement disait que des discussions seraient relancées avec les autorités fédérales pour limiter au maximum les contraintes d’implantation liées aux activités militaires. Où en sont ces discussions?»
Le Sonégien voulait aussi en savoir plus concernant la publication attendue d’une carte militaire reprenant l’ensemble des contraintes imposées par la Défense.
Les discussions avec le fédéral n’ont pas encore été relancées
François Desquesnes devra faire preuve de patience. Les discussions avec le fédéral n’ont pas encore été relancées.
«Je vais, avec l’aide de mon administration, faire le point sur l’état d’avancement du dossier de déploiement des éoliennes en zone militaire et des négociations, répond Philippe Henry, afin de pouvoir le faire évoluer favorablement à moyen terme et reprendre les discussions avec les autorités fédérales.»
Le député et le ministre ont aussi évoqué le «wind farm filter», un dispositif qui permettrait de limiter les interférences causées par les éoliennes sur les radars de l’armée.
«Il semblerait que cette technologie “ wind farm filter ” ait bien été testée au radar de Florennes. Toutefois, bien que ce dispositif donne, semble-t-il, de bons résultats, ce système poserait un souci d’ordre juridique au niveau de la responsabilité en cas d’incident ou d’accident.» "
Lire l'article sur : lavenir.net ( 29/11/19 )
>> Beauvechain: Des éoliennes plus près de la base ? On en est encore loin
"Le navire d’installation «Innovation» de DEME va prochainement s’embarquer pour la mer du Nord belge avec le premier chargement de 58 fondations d’éoliennes et pièces de transition à installer sur le parc éolien offshore SeaMade."
"Du greenwashing sur nos enfants" à Leglise.
Les promoteurs éoliens peuvent-ils organiser des conférences dans nos écoles ? La question divise.
COMMENT PEUT-ON ECRIRE DE PAREILLES INEPTIES ?
210.000 ménages hennuyers seraient éclairés grâce à l’énergie éolienne ?
Une éolienne produit de l'énergie intermittente, elle ne peut donc pas alimenter un ménage, ou alors, le ménage risque d'avoir de sérieux problèmes ...
C'est aussi omettre de signaler aux lecteurs que les éoliennes, en Wallonie, ont un taux de charge entre 20 et 25%...
Lire l'article sur : laprovince.be
>> 210.000 ménages hennuyers éclairés grâce à l’énergie éolienne
D'ici 2025, date théorique de la sortie du nucléaire, un nouveau parc éolien devrait s'ériger au large des côtes belges. Pour acheminer cette électricité, il faudra une nouvelle ligne à haute tension en Flandre occidentale. Nom du projet dévoilé par Elia: Ventilus.
Lire l'article sur : canalz.levif.be
>> Un corridor électrique à € 500 millions 02/04/19
Au 1er janvier, cinq parcs éoliens étaient opérationnels en mer du Nord belge, soit 274 éoliennes représentant une capacité totale de 1186 MW. En 2018, ces parcs (C-Power, Belwind, Northwind, Nobelwind et Rentel) ont produit 3408 gigawattheures d'électricité, ce qui équivaut à la consommation d'électricité d'environ un million de familles, indique vendredi la Belgian Offshore Platform (BOP).
Lire l'article sur : rtbf.be
>> L'éolien belge a plus que jamais le vent en poupe en mer du Nord
une excellente analyse de la situation au 03 janvier 2019 ! La Belgique est un cas d’école de la destruction d’un secteur énergétique sain produisant une énergie bon marché, par de folles errances idéologiques et politiques.
Lire l'article sur : europeanscientist.com
>> Le chaos électrique belge
Beaucoup de soleil cet été mais très peu de vent. Les conséquences sur la production d'électricité des éoliennes se font sentir. Electrabel n'est qu'à 70% de ce qu'il était prévu de produire. La société wallonne d'exploitation éolienne Ventis enregistre, elle, une baisse de 40% par rapport à juillet 2017.
Lire l'article sur : rtbf.be
>> Beaucoup de soleil mais peu de vent, nos éoliennes tournent au ralenti
Lire l'article sur : lecho.be
>> le gouvernement mise sur l'éolien pour sortir du nucléaire.
Lire le pdf :
>> Le_gouvernement_mise_sur_léolien_pour_sortir_du_nucléaire.pdf
À peine 50% de l'énergie renouvelable achetée en Belgique est produite localement. Les fournisseurs belges complètent en fait leur propre capacité de produire vert en achetant des "labels" au niveau européen, rapporte Le Soir.
Au total, l'électricité verte représente:
◾26 % de la fourniture en Wallonie
◾29 % en Flandre
◾45 % à Bruxelles
À lire également: Mettons le cap sur davantage d'énergie éolienne en mer du Nord belge!
La demande en électricité verte en Belgique est supérieure à la capacité de production belge. Pour compenser et répondre à la demande des clients, les fournisseurs belges achètent des "labels" via un système européen.
Chaque fois qu'un producteur produit 1 MWh d'électricité verte, il reçoit un label de garantie d'origine. Il peut ensuite vendre ce label à un fournisseur européen
Le client qui a souscrit un contrat "100 % vert" est donc assuré que, quelque part en Europe, l'équivalent de sa consommation a été produit de manière renouvelable.
→ La Belgique à la traîne dans les renouvelables
Ces labels ne sont pas nécessairement un moteur au développement du renouvelable. Leur nombre sur le marché européen est supérieur à la demande. Pourquoi? Dans certains pays scandinaves, d'où provient 38 % de l'électricité verte achetée en Belgique, les consommateurs se moquent du label 100 % vert: ils savent qu'ils produisent assez d'électricité verte pour couvrir leurs besoins. Leurs labelsse retrouvent en masse, et à faible prix, sur le marché continental.
Lire l'article sur : lecho.be
>> 38% de l'électricité verte achetée en Belgique provient des pays scandinaves